Je ne suis pas (plus) un fan de Freud, mais avouons qu'il dit aussi des choses très justes.
Le deuil est un «cataclysme intérieur», dit-il. «Nous sommes consternés, effondrés, nous refusons toute consolation, notre vie s'appauvrit, perd son intérêt... elle devient vide".
Cette culpabilité peut s'exprimer à de très nombreux niveaux. Celui de survivre, de ne pas avoir dit au revoir comme on l'aurait voulu, de ne pas avoir été là quand il le fallait, d'accepter de revivre un jour sans l'autre...
Il y a aussi la colère, face à cet echec de ne rien n'avoir pu faire pour l'empecher, celle de vouloir rester seul, de se tanner des élans d'émotion d'un entourage trop présent, trop gentil ou condescendant.
Le deuil est un «cataclysme intérieur», dit-il. «Nous sommes consternés, effondrés, nous refusons toute consolation, notre vie s'appauvrit, perd son intérêt... elle devient vide".
Cette culpabilité peut s'exprimer à de très nombreux niveaux. Celui de survivre, de ne pas avoir dit au revoir comme on l'aurait voulu, de ne pas avoir été là quand il le fallait, d'accepter de revivre un jour sans l'autre...
Il y a aussi la colère, face à cet echec de ne rien n'avoir pu faire pour l'empecher, celle de vouloir rester seul, de se tanner des élans d'émotion d'un entourage trop présent, trop gentil ou condescendant.
Nous on est juste les témoins d'une perte importante et les responsables d'une distance cruelle qui nous empêche d'être au coté de notre ami et de sa famille.
3 commentaires:
Merci, pour tous vos témoignages d'amour... Vous m'êtes si proches et tellement loin!Je vous aime et je vous assure que la distance n'y changera rien...
Je vous embrasse très fort.
Yowen
Sincères condoléances
Toutes nos amities a toi Yowen.
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