Eric m'avait demandé d'apporter ma contribution sur le Blog.
Voilà donc quelques autres nouvelles fraîches de Montréal
Voilà donc quelques autres nouvelles fraîches de Montréal
J'ai eu bien de la chance d'y venir une semaine de séminaire pour accompagner 32 apprentis ingénieurs (rencontres à l'université, école d'ingénieurs, entreprises de construction, ...).
J'ai surtout été bien chanceux d'arriver un samedi après midi et avoir un dimanche complet, puis assez de temps libres pour me découvrir la ville et voir vivre nos gentils Québécois préférés dans leur habitat naturel.
Je les ai trouvés plutôt en forme et rudement bien acclimatés.
A l'aise comme des poissons dans l'eau. Pardon, "comme une nichée de castors dans la riviâiiiire".
Même que Félix a bien voulu accepter de me prêter sa chambre pour une nuit (ou c'est l'aubaine de profiter encore de la chambre de ses parents ?).
J'ai surtout été bien chanceux d'arriver un samedi après midi et avoir un dimanche complet, puis assez de temps libres pour me découvrir la ville et voir vivre nos gentils Québécois préférés dans leur habitat naturel.
Je les ai trouvés plutôt en forme et rudement bien acclimatés.
A l'aise comme des poissons dans l'eau. Pardon, "comme une nichée de castors dans la riviâiiiire".
Même que Félix a bien voulu accepter de me prêter sa chambre pour une nuit (ou c'est l'aubaine de profiter encore de la chambre de ses parents ?).
Et il était même disposé à me prêter sa brosse à dents. Oui, oui, celle de Shrek "avec une partie qui frotte la langue aussi" ! J'ai apprécié, mais j'avais la mienne.
Si le Félix a apprécié la neige et ses pelletées. Il avait quand même eu un petit coup de blues, à la fin de l'hiver et disait "mais quand est-ce que l'herbre repoussera ? Quand est-ce que je pourrai me rouler dans l'herbe fraîche ? Quand est-ce que je pourrai cueillir des fleurs ?"
Il peut être rassuré désormais et je l'ai vu s'en donner à coeur joie de se laisser rouler dans l'herbe du haut d'une petite colline.
Bref, outre le plaisir, bien sûr, de passer quelques moments en famille, j'ai beaucoup aimé Montréal.
J'aime ce mélange permanent de quartiers, d'époques, de syles de constructions, où les gratte-ciels côtoient les bâtisses victoriennes, les cottages pompeux, les petits immeubles avec leurs escaliers extérieurs à l'américaine ... (how do you say that in french ? it's so ... "typique")
(Bien sûr, je parle de l'île de Montréal parce que la banlieue représente aussi de bien miteuses friches industrielles et des coins dans lesquels on ne se promènerait pas la nuit.)
Ces mélanges de cultures. Et cette quantité de restaurants et de mets de toutes nationalités : un régal pour les papilles.
Les galeries marchandes, temple de la consommation effrénée ( 33 km de galeries souterraines reliées au métro) sont à voir (un peu) mais à ne pas trop fréquenter pour le porte monnaie.
Et ce qui m'a frappé aussi, c'est la qualité de l'accueil des québécois que nous avons rencontrés, tous fiers de ce qu'ils font, fiers de ce qu'ils sont et fiers de vous en vanter les mérites.
Bien sympathiques.Ce qui m'a frappé aussi : toutes pubs à la télé pour des médicaments anti allergies. Et à la fin de la météo, on y affiche des taux de pollution des différents pollens : érable, bouleau, chêne, ...
Ce doit être un fléau national, après les tempêtes de neige, bien sûr, et paraît-il, les moustiques d'icittte (les "maringouins") particulièrement féroces.
Mais ce sera pour plus tard. Les visiteurs de l'été raconteront.
Pour ma part, en tout cas, c'est promis, je reviendrai.
7 commentaires:
Ouf ! Heureusement que je reconnais des collègues de Pierre sur la photo dans le restaurant, sinon j'aurais presque douté de la véracité d'une semaine de séminaire de travail !
Je ferai aussi partie des visiteurs de l'été, en espérant que les moustiques ne se bousculeront pas pour m'accueillir.
Matitine
C'est quoi cette histoire de moustiques!!!depuis bientôt un an on a le droit à un descriptif complet et approfondie de la faune et de la flore des environs et pas un mot des moustiques... Je commence à craindre les attaques de cet été! ils sont si gros que ça? On attends la liste des produits efficaces contre ces méchantes bestioles... En passant, il y a d'autres monstres dont vous n'auriez pas signalé la présence?
ps: Merci Papierre pour cette vitale information
Ooostie, y m'on ben l'air sensibles ces parisiens. Désolé qu'on a oublié, mais les maringouins icitte y piquent que les parisiens, donc n'étant pas concernés, on en a pas parlé (quoi que faudra que je retourne voir dans les archives). Pas de soucis, il y a de la pommade icitte aussi et pis après 3 jours de campings on sentira tellement le castor...
Allez on vous attend pour tester et on en parlera ensuite pour les suivants. A tantôt.
Au fait Matitine on cherchera aussi un répulsif ici. Car comme tu n'iras pas faire de camping, la méthode de castor camouflage ne tient pas.
On t'attends avec impatience en tout cas.
Bises
Decidement, il est bien ce blog, tout plein de participants et d'impressions differentes. C'est comme de signer un livre d'or, tu vas chez la famille MTV, tu participes au blog :)
Quant aux maringouins, c'est vrai, je trouve curieux que vous n'en ayiez pas parle. Vous etes immunises ma parole? Moi je me souviens de nuages de moustiques vers 6:00 su soir en ete, ils piquaient aussi les gens du cru.
Bonjour à tous,
Désolé, je voulais pas faire peur aux jeunes...
Mais le Canada recèle bien des secrets d'une nature encore mystérieuse et sauvage... :-))
Il faut laisser place à la découverte, sinon, l'aventure ne serait pas drôle.
En fait, Yowen, quand on fait du camping, il faut surtout se méfier des ours :-)))
http://www.tetesaclaques.tv/video.php?vid=27
Ceci dit Gracianne a raison, les maringouins, ça existe aussi.
http://www.mauditfrancais.com/2007/06/22/sus-aux-maringouins/
Allez, à tantôt, j'va m'oindre de ce pas d'jus d'citronelle.
Oh là là. La réalité est bien pire que vous le dites. On cacher l'essentiel pour ne pas se retrouver tout seuls dans l'adversité cet été.
Je reviens d'Halifax en nova scotia dans les maritimes et là aussi de multiples dangers : des pubs aux bières locales, des homards vivants aux énormes pinces, des chercheurs bavards et encore des chercheurs bavards, des bateaux militaires et plein de marins partout. Tout juste sortie indemne par chance.
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